mercredi 26 août 2009

Le site du jour #1


Une Gourelle, Un Ninja est fier de vous présenter sa toute dernière création en date: Tweendie.

Webzine porté sur l'indie music, venez y découvrir l'actualité du moment, lire des chroniques d'albums, feuilleter l'agenda des concerts, consulter des fiches sur les artistes ou télécharger du contenu gratuit (mp3, vidéo, ...).

lundi 17 août 2009

Anniversaire du jour #3


Si Une Gourelle Un Ninja était un pays, alors, en ce moment, nous serions tous en train de célébrer la fête nationale. En effet, en cette belle journée ensoleillée du 17 août, notre Gourelle fête ses 22 ans. De ce fait, toute la galaxie - que dis-je, l'univers ! - se joint à moi pour lui souhaiter un bon, heureux et joyeux anniversaire !

dimanche 2 août 2009

Chanson du jour #54

Il aurait été difficile de passer à côté...



Crying Lightning - Arctic Monkeys

mercredi 15 juillet 2009

Lol d'or du jour #7



Meilleure combo chanson-vidéo depuis un bout de temps quand même!
A bien regarder, Rachida des Sexy Sushi VS une leçon de disco-dancing datant de 1969.

dimanche 7 juin 2009

Blind-Test #8

Aujourd'hui, c'est le jour du huitième blind-test.
Une seule personne s'est distinguée lors de l'épreuve précédente: il s'agit de Mélu qui est donc l'unique candidate à avoir reconnu Here Comes The Sun des Beatles et, par conséquent, à marquer des points lors de cette épreuve. Bravo à elle !
De ce fait, le classement évolue peu mais il se resserre !

Classement après 7 journées:
  1. Cha (6 pts)
  2. Mokix / Mélu (5 pts)
  3. Manon R. / Siri-J / Théo (2 pts)

Le nouvel extrait est donc disponible. Il est probablement plus difficile à découvrir que le précédent. Pour le télécharger, veuillez cliquer ICI.

Rappel:

Afin de ne pas transformer ce «jeu» en une course de rapidité et ne pas pénaliser ceux qui liront cette note après que certains ont déjà trouvé la réponse («après que» est toujours suivi du mode indicatif), veuillez donc envoyer cette dernière et votre pseudonyme/nom à: une-gourelle-un-ninja@hotmail.fr.

Le nom du groupe/artiste et le titre de la chanson vous rapporteront chacun 1 point. Au fur et à mesure du jeu, j'afficherai alors un classement des meilleurs compétiteurs.

mercredi 22 avril 2009

Chanson du jour #53

"You are my voice, my microphone. You are my voice so take me home."



Microphone - Coconut records.

My second favourite song from Jason's Davy. I like "The Summer" better but I kind of like this idea of a "fake still frame youtube thing" while waiting for the actual video.
Bisoubisoulol.

mardi 24 mars 2009

Lol d'or du jour #6

En ce moment - mais j'imagine que vous le savez déjà (en tant que membres de la secte de notre chère Gourelle ou autres disciples de mon ordre Ninja) - je suis en mission professionnelle à Colmar.
Ce midi, afin de me restaurer, j'ai ainsi déjeuné en compagnie de deux stagiaires sympathiques au restaurant universitaire de la ville. Je mets en place le décor car c'est précisément dans cet établissement qu'a eu lieu le LOL d'or du jour. En effet, chaque étudiant, après avoir judicieusement composé son menu du jour, se voyait remettre un petit papier qu'il pouvait remplir et placer dans une urne où un tirage au sort en continu était effectué. Ce tirage au sort était assurée par une dame d'un certain âge que l'on nommera par conséquent Martine. Martine, armée de son micro se chargeait donc de lire le nom des heureux chanceux qui ne venaient pas chercher leurs places de cinéma ou de théâtre gratuites (allez, si, une personne sur trois se déplaçait). Jusqu'à présent, rien de drôle, encore que...
Bref, le tirage au sort a basculé lorsque Martine a annoncé la victoire d'un candidat particulier:
«Cule Jean ? Cule Jean ? Jean Cule ? Jean-Cule, dernier appel !»
La pauvre ne se rendait même pas compte de l'énormité de ses propos... Surrenchère:
«Jean Culassec ! Jean Culassec ! Est-ce que Jean Culassec... Ah bah je vois que pour certains, ce n'est pas le printemps de la poésie mais le printemps de l'humour !».
Inutile de vous signaler que Martine n'a pas bronché lorsque Gator Ali ou encore D'Anus Brice ont remporté un lot.

jeudi 19 mars 2009

Chanson du jour #52

Cette chanson est définitivement ma chanson du moment... !


French Navy - Camera Obscura

lundi 16 mars 2009

Blind-Test #7

Aujourd'hui, c'est le jour du septième blind-test.
Une fois n'est pas coutume, la dernière épreuve a frôlé le fiasco. Seule une personne a tenté sa chance et a d'ailleurs trouvé la bonne réponse. Le morceau qu'il fallait découvrir était Elephant Gun de Beirut.
Le classement évolue et c'est désormais Cha qui est en tête ! Ses poursuivants la laisseront-ils s'échapper ?

Classement après 6 journées:
  1. Cha (6 pts)
  2. Mokix (5 pts)
  3. Mélu (3 pts)
  4. Manon R. / Siri-J / Théo (2 pts)

Rien n'est joué ! L'extrait du jour est - me semble-t-il - relativement simple à deviner et beaucoup d'entre vous devriez marquer des points. Pour le télécharger, veuillez cliquer ICI.

Rappel:

Afin de ne pas transformer ce «jeu» en une course de rapidité et ne pas pénaliser ceux qui liront cette note après que certains ont déjà trouvé la réponse («après que» est toujours suivi du mode indicatif), veuillez donc envoyer cette dernière et votre pseudonyme/nom à: une-gourelle-un-ninja@hotmail.fr.

Le nom du groupe/artiste et le titre de la chanson vous rapporteront chacun 1 point. Au fur et à mesure du jeu, j'afficherai alors un classement des meilleurs compétiteurs.

Chanson du jour #51



Clangour and Flutes - Sin Fang Bous

samedi 7 mars 2009

Livre du jour #7

‘Evokes the voice of J.D. Salinger’s The Catcher in the Rye, the perversion of J.G. Ballards’ Crash and the feminist agenda of Germaine Greer’s The Female Eunuch’.

Combien de fois vais-je me faire avoir par une allusion à Salinger en quatrième de couverture? Seul l’avenir nous le dira…Pourtant cette fois ci, j’étais tout aussi alléchée par les mots : féministe et eunuque. Il m’en faut pas beaucoup tu dis ? Eh bien, j’ai pris en main et reposé le livre sur la pile une bonne dizaine de fois avant de lire la phrase liminaire qui a achevé de me convaincre :

« As far back as I can remember, I’ve had hemorrhoids. »

Alors tu vois, je tiens à te le dire, j’ai jamais eu d’hémorroïdes mais je me suis dit « ah ouais, intéressant ». Et quelques tours de carte bancaire plus tard, j’étais chez moi en train de dévorer ce livre. Ouais franchement, deux jours c’est le maximum qu’on puisse durer tellement c’est captivant. Qui aurait cru que lire les aventures post ablation des hémorroïdes d’une catin de 18 ans me fascinerait autant ? Qui aurait pu dire encore que sa façon de contourner l’industrie américaine du tampon en s’enfilant du papier toilette là où il faut m’aurait fait gentiment sourire? Qui aurait cru encore qu’on pouvait faire des choses aussi intéressantes avec des avocats ? La seule raison pour laquelle ce livre ne te dégoutera pas avant la fin, cher ami puritain, est la qualité de l’écriture. En effet, c’est malin, pointu et vraiment moderne. La seule chose que je sache sur la version française c’est qu’ils en ont parlé dans Elle. Je trouve le fait que mes lectures coïncident avec la rubrique littérature d’Elle assez rare et comique pour en parler. La version originale est en allemand, mais la traduction anglaise est tout à fait respectable. Je vous en donne un petit bout, plutôt soft mais vu qu’un dieu non existant y est invoqué, moi je dis pourquoi pas :

« He’s brought a contract that I’m supposed to sign. It says the operation could result in incontinence. I ask how it could affect my pissing. He grins and says this refers to anal incontinence. Never heard of it. But suddenly I realize what this means: “You mean I might lose control of my sphincter muscles and then I could just crap myself anytime and anyplace and would need a diaper and stink all the time?”
The sandman: “Yes, but that rarely happens. Sign here, please.”
I sign it. What else am I supposed to do ? If that’s what it takes to have the surgery. I can’t exactly go home and operate on myself. Oh man. Please, dear nonexistent God, don’t let this happen. I’d be wearing a diaper at age eighteen. You’re not supposed to need those until you’re eighty. It would also mean I’d only have managed to live fourteen years of my life without diapers. And you certainly don’t look cool in them. “Dear anesthesiologist, would it be possible for me to see what they cut away during the operation? I don’t like the idea that a part of me could end up in the trash along with aborted fetuses and appendixes without my being able to picture it. I want to hold it in my hand and examine it.” “If that’s what you want, then sure.” “Thanks.” He sticks a catheter into my arm and secures everything with a surgical tape. This is where they’ll pump in the anesthesia later. He says in a few minutes a nurse will come to take me to surgery. Now the anesthesiologist too leaves me lying in the puddle of moisture from my blister and walks out. The thought of anal incontinence worries me. Dear nonexistent God, if I manage to get out of here without anal incontinence, I’ll stop doing all the things that give me a bad conscience. Like the game I play with my friend Corinna where we run through the city drunk and grab people’s eyeglasses, break them, and then chuck them into the street. We have to run quickly_some people get so pissed off that they come after us really fast even without their glasses. The game is stupid anyway because we always sober up from all the excitement and adrenaline. Big waste of money. Afterward we always have to start from scratch again getting drunk. Actually, I’d like to give that game up anyway_sometimes at night I dream of the faces of the people whose glasses we’ve just plucked off. It’s as if we’ve ripped a body part. I’ll give that one up right now, and I’ll try to come up with a list of some other things. Maybe if it’s absolutely necessary I’ll give up the hookers. That would be a major sacrifice, though. It would be great if giving up the glasses game would suffice."

Il faut savoir que des gens se sont évanouis lors de la première lecture publique de ce livre, comme si le fait de faire des commentaires en dessous de l’élastique de la culotte était réservé à ces porcs qu’on appelle hommes. Les mémères qui croient qu’elles révolutionnent encore quelque chose avec leur monologue du vagin, pourraient bien arrêter d’être chattriloque (ventriloque de la chatte, eh oui bébé). J’exècre le fait que de nos jours, les misogynes se bousculent avec les machos pour faire une ode à la connerie mais je n’irais pas jusqu’à dire que ce livre est un chant d’honneur au féminisme. Je me demande bien pourquoi dès qu’une femme brise des tabous de quelque genre que ce soit, on lui colle cette étiquette assez peu glorieuse de chienne de garde ou de gouine de féministe. Y’a rien de plus dommage. Mais au fond, c’est vrai ce livre est écrit par une féministe, et je dirais même plus (Dupond/dupont) : d’une humaniste. Je vous quitte sur un lol et vous déconseille tout de même la lecture de cet opus si vous avez encore un problème avec le fait que OUI, même les filles fassent caca parfois.

samedi 14 février 2009

Chanson du jour #50



You - Mayor McCa

vendredi 13 février 2009

Un jour, une histoire #1

Extrait de Naïve. Super. D'Erlend Loe.

The Tree:

Tonight I’m thinking about my grandfather. A few weeks ago he told me a story. It’s a story about a good world. My grandparents live in a yellow wooden house they built a long time ago. They have a big garden that they’ve always spent a lot of time on. Flowers and trees and bushes mean a lot to them. They know all the names and when things are supposed to be planted and when they have to be watered and pruned. They often talk about plants and give flowers to friends and family. It’s been that way for as long as I can remember. When they built the house, my grandfather planted an apple tree. At the bottom of the garden. I have never seen that tree. It was gone when I was born. But I’ve heard about it. When the tree had grown for many years, it started to yield apples. A lot of apples. My grandmother used to make juice and preserves from the apples. It was a good apple tree. But then something happened. It had been a good summer and the apples were nice and big. They were about to be picked. But one morning, the tree had been destroyed. Several thick branches were lying on the ground. My grandfather said it looked bad. It would never grow apples again. The tree was going to die. My grandfather went inside to give my grandmother the sad news. Then he took off his work clothes, put on something more appropriate, and went down the lane past the cemetery and down to the college. There he spoke to the principal. The college acted, and after some time three young students came forward. They had been out pinching apples and things had got a little out of control. They had very guilty consciences. It was a prank. Not a big thing, but serious enough. And both my grandfather and the principal were concerned with sorting things out fair and square. A new apple tree cost 150 kroner in those days. It was agreed that the boys should pay for a new tree. It was agreed that the boys should pay for a new tree. They would pay 50 kroner each. My grandfather told me it was a lot of money back then. The boys would pay a weekly sum the rest of that autumn and well into spring, until everything was paid back and they were even. My grandfather had himself been to that college and he knew the boys didn’t have a lot to get by on. They were boarders, some of them were far away from home and their families had already dug deep into their pockets in order to send them to college. They had to take the money for the apple tree out of their allowances. That probably meant any expensive and boyish activities had to be limited considerably. They could hardly buy anything, not go to the cinema, not treat the girls to a soda, pretty much nothing at all. Every Saturday the boys came dejectedly to my grandparents’ door to pay. They said very little. They just held out their hands and dropped the coins into my grandfather’s huge palm. He nodded gravely and confirmed thereby that things were going the way they should. It went on that way. Winter came and went, and then spring. In May the garden was once again in bloom and the polytechnic was about to go on vacation. The boys were going home for summer. When they came by for the last time, they were all dressed up. It was something of an occasion for them. They rang the doorbell and my grandmother invited them in. She had made coffee and waffles. The boys were served and they made the last payment and shook my grandparents’ hands. The case was closed. The boys were relieved. They cheered up, and for the first time they talked with my grandparents. They told them about school and summer. They told them where they came from. Their faces were happy. The debt was paid. They were cleansed and could finally hold their heads high. After a while the boys got up to leave. Goodbyes were said, and they walked towards the door. Then my grandfather got up. Hang on, he said, there was one more thing. And the boys stopped. My grandfather crossed the floor. He went over to the big kitchen dresser and opened it. He stuck his hand deep inside it and came out with three envelopes. Then he walked over to the boys and gave one to each of them. The boys couldn’t quite understand. They looked at each other. Then they opened the envelopes and tears started running down their cheeks. My grandfather had given them their money back. […] I’m thinking about the boys. They’re grown-ups today. Probably over fifty years old. They must have had thee feeling that the world was good. That things fitted together. That something meant something. I wonder what they are doing now. They probably have families themselves, and gardens with apple trees. My grandfather is a really good guy. I wonder whether I am a really good guy. I wonder whether there are any really good guys at all in my generation.

jeudi 5 février 2009

Album du jour #2

Si l'on me demandait un jour de faire un top 10 de mes albums préférés, tout genre confondu, je crois que je serais bien dans la merde... J'y ferais probablement figurer L'Histoire de Melody Nelson, Kind Of Blue, The Velvet Underground & Nico ou encore The Rise And Fall Of Ziggy Stardust... Et puis ? Ok Computer ? Daydream Nation ? Is This It ? Richard D. James ? Homogenic ? The Queen Is Dead ? Tri Repetae ?

Franchement, ça serait un vrai calvaire. D'ailleurs, parmi les disques suscités, ça manque franchement de Hip-Hop. En fait, si je ne devais faire qu'un top 10 de mes albums de rap préférés, je serais déjà bien dans la merde. Mais une chose est certaine, j'y ferais figurer The Cold Vein de Cannibal Ox.

Formé de deux MC's de Brooklyn - Vast Aire et Vordul - le groupe a fait la gloire et la renommée du label underground indépendant Def Jux. En effet, c'est sur ce label, créé par El-P (ex-Company Flow) que sortira The Cold Vein en 2001. C'est d'ailleurs ce dernier qui en assurera l'entière (et excellente) production. Entre guitares saturées, orgues imposants et autres sonorités électroniques, le flow et les textes de notre duo nous projettent dans un New-York froid et apocalyptique, presque cyber-punk. L'atmosphère que dégage cet album est absolument géniale. Du premier titre (Iron Galaxy), au dernier (Scream Phoenix), jamais l'intensité ne faiblit.

Du coup, j'ai réécouté The Cold Vein dernièrement et, une fois n'est pas coutume, j'ai repris la même claque qu'à l'époque. Je n'étais alors qu'un jeune lycéen, naïf et insouciant... Et lorsqu'est arrivé A B-Boys Alpha, j'ai aimé répéter avec Vast Aire cette punchline magnifique (mais probablement peu raffinée): "My mother said: you sucked my pussy when you came out".

mercredi 4 février 2009

Chanson du jour #49



Us - Regina Spektor

jeudi 22 janvier 2009

Chanson du jour #48



Returning to the Fold
- The Thermals

Lol d'or du jour #5

Hommage à Monsieur Moundir en 2009:

lundi 12 janvier 2009

But du jour #1

C'est un fait, j'aime le football. Par conséquent, puisqu'hier soir, lors du match entre les Girondins de Bordeaux et le Paris Saint-Germain, un but incroyable a été inscrit par Yoann Gourcuff, je me devais de le publier ici. Certes, derrière ce post se cache forcément un peu de chauvinisme dû à mes origines bretonnes mais qu'importe, cette action demeure quand même incroyable.


Pour l'anecdote, Bordeaux a remporté ce match 4-0 et se retrouve désormais qu'à 1 seul petit point du leader, Lyon.

dimanche 11 janvier 2009

Le juron du jour #1

On sait tous depuis longtemps que l'insulte publique numéro un est: "Et ta mère, ça serait pas ta putain de sœur, gros bâtard?".
Car oui, traiter la mère ET la sœur de quelqu'un, ça vaut bien un petit coup de boule, c'est pas Zizou qui me contredira. Puis les remarques incestueuses ça fait un petit moment que ça nous fait rire dans la cour de récréation. C'est pas vous qui irez me dire le contraire...Et les Phantom Planet ne me contrediront pas, traiter la mère de quelqu'un, c'est comme une petite tape dans le dos,dans les vestiaires après le sport en troisième. Un truc de fou!
"Vas-y mec, change le refrain et dis I fucked your mum à la place"
"Ahah trop drôle mec."



Phantom Planet - Do the Panic (acoustic version with an alternative chorus)

mercredi 31 décembre 2008

Lol d'or du jour #4


En allant au travail ce matin, j'ai vu un Espagnol (enfin, je crois...) essayer de passer les portiques du métro en posant son ticket sur l'endroit où l'on valide les Pass Navigo.