Mardi dernier, M. m'a invité pour regarder le match de la Ligue des Champions diffusé sur TF1. C'était l'occasion parfaite pour me montrer son tout nouveau studio parisien.
J'arrive à Alésia à 20H10, légèrement en retard par rapport à l'heure initialement convenue. Commence alors et malgré tout une longue attente. M. n'arrivera en effet qu'à 20H40. J'ai donc pu regarder la vitrine d'André des dizaines et des dizaines de fois et repérer des bottes qui pourraient plaire à ma soeur, A.M., car - ouais - je suis comme ça moi.
Le lendemain, j'en parle donc à A.M. qui semble intéressée. À peine une semaine plus tard, c'est-à-dire ce soir, le rendez-vous est donc pris: après mon travail, on va chez André, rue de Rennes.
Une fois de plus, je me pointe et je patiente un bon quart d'heure. C'est à nouveau une vitrine de magasin de chaussures qui me tient compagnie.
A.M. arrive.
«Si tu trouves pas ton bonheur chez André, y a un autre magasin de chaussures en face...»
Elle ne trouve pas son bonheur. On va donc dans le magasin dernièrement suscité. Elle trouve son bonheur !
Ses bottes achetées, on décide donc de rentrer. Je propose le métro. On passera à Franprix avant de rentrer, il me faut de la bière et du vin rouge.
«Oh non, on n'est pas loin à pied. On rentre à pied, il fait trop chaud dans le métro !»
Pas faux. Et c'est là que le hasard fait de nouveau bien les choses. On remonte la rue de Rennes. A.M. me raconte les anecdotes de sa journée, jusqu'à ce qu'on croise ce type qui nous fixe. Arrivé à sa hauteur, je lance:
«Oh, Benjamin Biolay !»
Il s'agissait bien de l'anti-Bénabar qui nous a alors regardé en coin.
J'arrive à Alésia à 20H10, légèrement en retard par rapport à l'heure initialement convenue. Commence alors et malgré tout une longue attente. M. n'arrivera en effet qu'à 20H40. J'ai donc pu regarder la vitrine d'André des dizaines et des dizaines de fois et repérer des bottes qui pourraient plaire à ma soeur, A.M., car - ouais - je suis comme ça moi.
Le lendemain, j'en parle donc à A.M. qui semble intéressée. À peine une semaine plus tard, c'est-à-dire ce soir, le rendez-vous est donc pris: après mon travail, on va chez André, rue de Rennes.
Une fois de plus, je me pointe et je patiente un bon quart d'heure. C'est à nouveau une vitrine de magasin de chaussures qui me tient compagnie.
A.M. arrive.
«Si tu trouves pas ton bonheur chez André, y a un autre magasin de chaussures en face...»
Elle ne trouve pas son bonheur. On va donc dans le magasin dernièrement suscité. Elle trouve son bonheur !
Ses bottes achetées, on décide donc de rentrer. Je propose le métro. On passera à Franprix avant de rentrer, il me faut de la bière et du vin rouge.
«Oh non, on n'est pas loin à pied. On rentre à pied, il fait trop chaud dans le métro !»
Pas faux. Et c'est là que le hasard fait de nouveau bien les choses. On remonte la rue de Rennes. A.M. me raconte les anecdotes de sa journée, jusqu'à ce qu'on croise ce type qui nous fixe. Arrivé à sa hauteur, je lance:
«Oh, Benjamin Biolay !»
Il s'agissait bien de l'anti-Bénabar qui nous a alors regardé en coin.
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