Dans ma garde robe, je n'avais pas de tee-shirts de groupe de rock (que j'affublerai désormais de l'acronyme TSGR). A vrai dire, c'est très loin d'être une fin en soi. Ne m'imaginez pas faire l'éloge des lycéens rebelles dont le sac Eastpack est barbouillé de blanco (ou blanc ou tipp-ex, pour les mécréants) à la gloire d'ACDC, Muse et autre Nirvana. Je passe sur la version deluxe où ces écritures artisanales sont méticuleusement remplacées par des patchs de La Boutik, cousus mains par Maman.
Bref, si j'ai choisi cette introduction pour cet article, ce n'est également pas pour vous révéler l'existence dans mon armoire d'un tee-shirt Ramones acheté chez H&M. En fait, j'avoue, je possède bien un TSGR, mais le mien est à l'effigie des Velvet Underground.
En réalité, je ne sais que dire sur ce groupe mis à part que j'en suis fan. Je peux écouter leurs albums en boucle. Ce qui est fabuleux avec les Velvet Underground, c'est que quarante ans après leur début, on retrouve encore leur influence aujourd'hui. On ne remerciera jamais assez le génial Andy Warhol de les avoir lancés.
J'aimerais alors être capable de faire un top de mes chansons préférées... Mais entre Sunday Morning, Who Loves The Sun, Candy Says, Sweet Jane, Heroine, White Light/White Heat, Venus In Furs, After Hours ou encore I'll Be Your Mirror - pour ne citer que celles là - mon coeur balance.
Je crois néanmoins avoir un morceau favori. Il s'agit de Pale Blue Eyes. Je ne saurai l'expliquer mais cette ballade, qui, pourtant, n'est pas forcément très représentative de la musique du groupe (réflexion inutile), me fascine. Il me semble même qu'elle ait été l'une des raisons pour lesquelles je me suis mis à la guitare.
Pour conclure et éviter de m'étaler, je ne peux que vous encourager à découvrir et re-découvrir ce groupe et vous invite également à vous intéresser aux carrières solos de ses membres. Transformer de Lou Reed, Paris 1919 de John Cale ou encore Chelsea Girl de Nico (que je qualifierai de membre officieuse) - entre autre - méritent bien plus qu'une simple écoute.
Bref, si j'ai choisi cette introduction pour cet article, ce n'est également pas pour vous révéler l'existence dans mon armoire d'un tee-shirt Ramones acheté chez H&M. En fait, j'avoue, je possède bien un TSGR, mais le mien est à l'effigie des Velvet Underground.
En réalité, je ne sais que dire sur ce groupe mis à part que j'en suis fan. Je peux écouter leurs albums en boucle. Ce qui est fabuleux avec les Velvet Underground, c'est que quarante ans après leur début, on retrouve encore leur influence aujourd'hui. On ne remerciera jamais assez le génial Andy Warhol de les avoir lancés.
J'aimerais alors être capable de faire un top de mes chansons préférées... Mais entre Sunday Morning, Who Loves The Sun, Candy Says, Sweet Jane, Heroine, White Light/White Heat, Venus In Furs, After Hours ou encore I'll Be Your Mirror - pour ne citer que celles là - mon coeur balance.
Je crois néanmoins avoir un morceau favori. Il s'agit de Pale Blue Eyes. Je ne saurai l'expliquer mais cette ballade, qui, pourtant, n'est pas forcément très représentative de la musique du groupe (réflexion inutile), me fascine. Il me semble même qu'elle ait été l'une des raisons pour lesquelles je me suis mis à la guitare.
Pour conclure et éviter de m'étaler, je ne peux que vous encourager à découvrir et re-découvrir ce groupe et vous invite également à vous intéresser aux carrières solos de ses membres. Transformer de Lou Reed, Paris 1919 de John Cale ou encore Chelsea Girl de Nico (que je qualifierai de membre officieuse) - entre autre - méritent bien plus qu'une simple écoute.
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