
En allant au travail ce matin, j'ai vu un Espagnol (enfin, je crois...) essayer de passer les portiques du métro en posant son ticket sur l'endroit où l'on valide les Pass Navigo.
11-Déc-08 19:04Je réponds donc: «Manon ?»
De: 0677******
cest manon,mon coeur dégouter que tes pas venu.jai grave penser à toi.je taime.gros bisous.répond moi.
27-Aoû-08 19:06Je réponds alors: «On se connait pas, désolé.»
De:0677******
Man0n c******.cest benjamiin?
27-Aoû-08 19:07
De:0677******
cest qui ??
27-Aoû-08 19:09
De:0677******
oui cest manon.cest benjamin.. ?
27-Aoû-08 19:10Je suis alors obligé de ponctuer par: «Je m'appelle Thomas et je ne connais pas de Manon C******. Au revoir.»
De:0677******
Cest qui ??cest qui?
27-Aoû-08 19:11
De:0677******
CEST QUI ?
"Handsomely ugly at best, I compensated with something that some might call style".Well, well.
"La cuculterie, c'est comme le cholestérol. Il y a du bon et du mauvais cucul, mais attention, trop de mauvais cucul tue".Une fois les termes du contrat posés, on peut tout de suite passer aux choses sérieuses et expliquer que:
" Vu l'explosion démographique, vous en connaissez un, vous, de moyen glus écolo que de s'éliminer soi même ? ". Née dans une famille juive dont le mot d'ordre est : " Trouve un mari à la Fac, après ce sera plus dur ", Sheila Levine, toujours célibataire à 30 ans, décide que la plaisanterie a assez duré et se lance dans l'organisation de son suicide. Après avoir cherché un époux, un appartement, du plaisir, de la minceur, des fringues branchées et un job, mis toutes ses chances de son côté en allant voir un psy et en faisant preuve d'un libéralisme sexuel à toute épreuve, la voilà qui se met en quête d'une concession, d'une pierre tombale et de la robe ad hoc. Version féminine du Complexe de Portnoy paru trois ans auparavant, Sheila Levine est morte et vit à New York relate avec une incroyable liberté de ton et de langage, les déboires d'une jeune femme naïve et protestataire dans l'Amérique des années 70.
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« Fuck all those nights I moaned real loud
Fuck it, I faked it, I'll rent you out
Fuck all those nights you thought you broke my back
Well guess what yo, your sex was wack”
27-Aoû-08 22:37Je lui réponds donc que ça me fait plaisir pour lui, mais qu'étant donné que je travaille demain et que j'ai mal géré mon argent récemment, je suis dans l'incapacité de le rejoindre. Cela me vaut «un»:
De: R*****
Mec, jsuis bien fait là. Jsuis du côté de bastille. Si tu veux sortir là, jsuis ok. Bisous mec
27-Aoû-08 22:44Il y a définitivement des amis marrants (et bourrés aussi, c'est vrai).
De: R*****
Ok man, gloire à nous!
"G.B.C.: Ca te dérange pas si je m'assoie en face de toi pour observer tes seins bouger au rythme des secousses du train?"J'ai bien cru sentir le moment où mon père allait lui demander s'il était juif ou un truc du genre, mais il s'est contenté de lui lancer un regard ultra réprobateur. Le G.B.C. coupé dans son élan de rentre-dedans bien lourd est reparti s'assoir à son ancienne place et mon père lui a fait rouler ma grosse valise rouge bien lourde sur le pied, quand on a quitté le train. Non mais oh, ta mère ça serait pas ta putain de soeur, gros bâtard?
Gourelle(pas décontenancée pour deux couronnes danoises): Euh écoute, il faut demander à mon père.
(Je tapote sur l'avant bras de mon père)
Gourelle: Alors papa, il peut?"